En guise d'ouverture de la saison culturelle des Retour du jeudi, l'action culturelle de l'INU vous propose une soirée avec un spectacle et un concert.
Le Retour du Jeudi, c’est le rendez-vous artistique hebdomadaire, gratuit et ouvert à tous, de l'action culturelle de l'INU Champollion sur le campus d'Albi. Eclectique et surprenante, la programmation du Retour du Jeudi alterne théâtre, rock, courts-métrages, chanson, marionnettes, hip-hop, clown, ciné-club, danse, slam, projections de documentaires, performances en tout genre
Au programme de cette première soirée de l'année :
(spectacle annulé) Ce que j’appelle oubli, par Cie Garniouze Ink
Christophe Lafargue, plus connu sous le nom de Garniouze, a fait son nom dans le milieu des arts de la rue depuis une vingtaine d’années déjà… Après avoir fondé la compagnie Okupa Mobil en 1992, après avoir participé à plusieurs créations de Phéraille de la compagnie Le Phun, il est également et parallèlement « regard extérieur » et/ou metteur en scène pour diverses compagnies (Carnage productions, Sacékripa,…). Il intervient aussi régulièrement pour Clowns sans frontières et Clowns d’ailleurs et d’ici…
Garniouze Ink. entame avec Ce que j’appelle Oubli le troisième volet de ses œuvres monologuées. Ce triptyque consacré à la mise en rue de textes d’auteur autour de trajectoires de vie en marge se clôture par cet écrit dense, en un souffle, en une seule et unique phrase.
L’œuvre nous questionne sur la valeur d’une vie dans nos sociétés modernes, celle de nos conditions humaines, sur nos errances, sur nos rapports sociaux, nos regards qui se détournent. Elle pose un regard sur nos soifs de justice et nos injustices cachées et honteuses, sur nos espoirs déçus, nos vies syncopées, nos espérances…http://garniouze-inc.blogspot.com/
18h30 - Full Tükan, électropical
Dans un style au croisement des musiques du monde, du hip-hop et de l’électro, ce quartet est emmené par une chanteuse franco-brésilienne. Les Toucans viennent de Reims, mais là-bas il fait froid. Alors ils ont volé vers le sud et voilà : quatre trentenaires sous les palmiers, Full Tükan est né. Full Tükan parce que ras l’bol de la grisaille. Full Tükan parce que tout fout l’camp. Full Tükan, parce qu’il est fou fou full, ce monde décadent. Et parce que la décadence, eux, ils préfèrent la danser. Leur style ? électropical. Leurs influences ? migratoires. Leur univers ? chamarré. Le Toucan est leur totem. Au coeur de la jungle, urbaine ou tropicale, et même si la forêt brûle, dansons et rions-nous de l’absurde.